« C'est un roman délicieux et poignant... Beau dans sa manière de dépeindre la résilience des personnages et de nous rappeler combien les immigrés ont apporté à l'histoire des États-Unis. Betsy Carter a brossé un portrait frappant de ce pays. » Historical Novels Review
Pour tous ceux qui ont aimé Brooklyn de Colm Tóibín et Le Chant du rossignol de Kristin Hannah.
À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, Egon Schneider, un jeune médecin juif amoureux des animaux, fuit l'Allemagne et débarque à New York. Dérouté par le rythme de Manhattan, il ne trouve de réconfort qu'auprès de son groupe d'amis immigrés. Parmi eux se trouvent Meyer Leavitt, un auteur cynique et populaire, ainsi que la belle et fougueuse Catrina Harty qui partage la même passion qu'Egon pour les animaux. Lorsque leur communauté est confrontée à une menace funeste, ils unissent leurs forces pour que leurs espoirs deviennent réalité dans ce Nouveau Monde où chaque lendemain est synonyme d'un nouveau combat à mener pour trouver sa place.
« Émouvant et très personnel, ce roman sur l'expérience de l'immigration dans le New York des années 1940 met en scène divers personnages impressionnants au développement finement ciselé. Un roman mémorable et intelligent. » Booklist
« Les peurs, les désillusions, les triomphes et les passions de ce groupe d'amis semblent si vrais que les lecteurs croiront lire l'histoire de leurs propres amis. » RT Reviews
« Une histoire poignante sur la perte, les désirs et la persévérance. » Real Simple
« Historiquement juste et un style saisissant et fluide. » New York Journal of Books
« Un roman fascinant sur un groupe d'immigrants dans le New York des années 1930 qui partage leur amitié, leurs triomphes et leurs désillusions tout en essayant de vivre une nouvelle vie dans un pays qui leur est étranger. » New York Post
Extrait :
« Catrina se leva et balaya des mains les miettes tombées sur sa jupe. Ils sortirent et, à la lumière des lampadaires, Egon se rendit compte que le rouge à lèvres de Catrina s'était estompé, ne laissant que quelques traces là où ses lèvres étaient les plus sèches. Elle avait encore une miette de gâteau au chocolat sur la lèvre inférieure. Il s'apprêtait à la retirer d'un doigt, et elle à le prendre par la main... Aucun de ces deux gestes n'aboutit, mais tous les deux en avaient perçu les esquisses et intentions.
Bonsoir, le salua-t-elle, lui tendant finalement la main pour qu'il la serrât.
Bonsoir, répéta-t-il en lui tendant la sienne. Vous reverrai-je ?
C'est certain. »
Copyright © 2017 by Betsy Carter
© Bragelonne 2019, pour la présente traduction