Fouiller la moelle ou la langue, jusqüà mettre les nerfs à vif. Ne jamais rien y expier, mais chercher le néant pour se chercher soi-même. Décomposer les intérieurs de la parole. Et assassiner l¿esprit, pour que la vie même se rétracte en un unique point d¿une unique durée, et que se déploient seules « la douleur perpétuelle et l¿ombre, la nuit de l¿âme ».